Historique des Baladins du Val Sierckois

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Section adolescents

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Section adultes

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Spectacle transfrontalier avec une troupe de Merzig

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Quel est le plus beau jour de notre vie ? Le jour de notre mariage, bien sûr ! On invite ses parents (les deux !), sa famille (qu’on n’a pas forcément choisie !) et ses amis !

C’est ce qu’ont fait Mathilde et Christophe, mais ils n’avaient pas prévu que leur mariage serait aussi le moment des règlements de compte. Chacun est-il vraiment celui que l’on connaissait, ou y a-t-il toujours quelque chose de caché dans toutes les relations ?

En tous cas, se retrouver à un mariage , c’est… un vrai bonheur !

Le Docteur Pierre JOUFFROY est chargé de prononcer le discours de clôture du colloque sur la microchirurgie pédiatrique. Trois cents médecins venus du monde entier attendent ses conclusions. Mais sa femme, Hélène, n’a pas de monnaie pour le parking, ses collègues Hubert JOLY et Lucie MALET préparent le Noël des enfants de l’hôpital, la directrice, Madame de la Massière, veut obtenir des subventionns et l’infirmière chef est débordée !

Et voici que débarque Sophie PAILLARD, qui fut infirmière dans son service 19 ans auparavent et qu’un jeune homme de 18 ans accompagne, à la recherche de son géniteur…

Ajoutez-y un retraité très vif, un brigadier plus futé qu’il n’y paraît et une mamie prête à tout… la journée risque d’être rude dans la salle de repos des chirurgiens !!

Le rideau se lève, la pièce commence comme un vaudeville : le mari, la femme, l’amant et l’inévitable placard. Tous les ingrédients du genre semblent réunis, mais les spectateurs ne vont pas assister à une représentation comme les autres ; cette fois l’amant, que le mari a découvert dans le placard, s’écroule dès son apparition sur scène. L’acteur ne se relève pas, il est réellement décédé.

Panique sur le plateau. Y a-t-il un médecin dans la salle ? Faut-il faire évacuer ? Doit-on laisser le rideau ouvert en attendant l’arrivée de la police ? Les avis divergent, la tension monte… La thèse de l’accident étant très vite écartée, il faut se rendre à l’évidence, il s’agit bien d’un meurtre.

Qui a bien pu le commettre ? Pour quelles raisons, et surtout de quelle manière, le ou la coupable a-t-il ou a-t-elle procédé ? La police, dépêchée sur les lieux, mène l’enquête. Des spectateurs à la maquilleuse, du metteur en scène aux acteurs, tout le monde est considéré comme suspect, pour l’inspecteur, une seule certitude : le coupable est dans la salle.

Jacqueline et Jeanne louent chacune une chambre chez Georgette, ancienne star de music-hall dont elle seule semble en avoir le souvenir.

Elles décident, le même jour, de rédiger une petite annonce. Georgette cherche un locataire, Jacqueline, la jeune peintre, un modèle, Jeanne un élève pour ses leçons de piano et Marie-Louise, la bonne, cherche l’amour.

Mais les annonces, rédigées en abrégé, sèment la confusion parmi les candidats qui, s’ils sont à la bonne adresse, ne sont pas au bout de leurs surprises !

L’entreprise familiale de robinetterie que dirige Paul DUBARD est en train de couler. Accompagné de sa femme Hélène et de sa fille Brigitte, Paul décide de rendre visite à sa vieille tante Violette pour la convaincre de vendre sa propriété, entourée de vignes et située dans le Bordelais.

Mais la tante Violette, femme de la terre et femme de tête, n’est pas du genre à se laisser « mettre en bouteille ». Devant ce refus, il n’y a plus qu’une chose à faire… « casser la vieille soupière pour pouvoir manger la pâtée ».

C’est sous cette phrase codée que le monstrueux neveu envisage de supprimer sa tante pour toucher l’héritage et sauver son entreprise. Pour ce faire, il pourra compter sur l’intervention de Germaine, la bonne à « tout faire ».

Guy JANVIER, brillant publicitaire, va enfin épouser celle qu’il aime : Line, la fille de son patron Monsieur LEBŒUF !

Mais le jour des noces, tout ne va pas se dérouler aussi facilement que prévu : entre la future belle-mère hystérique et les invitées qui n’étaient pas prévues, même avec l’aide de Placide, son fidèle secrétaire particulier, il aura bien du mal à se sortir de ses mensonges !

Mais qui donc est derrière toutes ces manigances ?

Vers 1900, une demoiselle de province très cocardière hérite, à Paris, d’un orphelinat pour jeunes filles : plutôt mélo !

En réalité, l’orphelinat est une maison… très spéciale, un « claque » réputé, fréquenté par les officiers de l’État-major et des diplomates. Déjà plus drôle !

Si d’aventure, notre provinciale décide de visiter son orphelinat et que, du coup, les demoiselles de petite vertu son contraintes, pour conserver leur maison, de jouer les pathétiques orphelines (alors que, bien sûr, les « messieurs », eux, ignorent tout) ça vire rapidement à la plus joyeuse pagaille…

Que de problèmes pour William, le majordome du château de Lady Gladys Mackintosh !

Entre le neveu de sa patronne qui fait croire à sa compagne qu’il est le propriétaire du château, des locataires très originaux et une bombe telle que sa petite amie Jane, il a fort à faire ! Il devra également déjouer de sinistres projets immobiliers et réparer les bêtises de tout le monde.

Il est rusé mais il ne sait pourtant pas ce qui l’attend.

Tournée annulée après trois représentations à cause de la COVID-19.

L’action se déroule à Saint-Plonget, petite bourgade rurale du Berry.

Le centre-ville se remet tout juste d’une descente de jeunes casseurs venus des Bronchettes, le quartier déshérité de la commune.

Pressé d’effacer le souvenir de cette émeute et soucieux de sa réélection face à CATALA, son éternel rival, le maire se voit contraint d’accepter dans l’équipe de foot locale Félicien COURÉ-COULÉ, surdoué du ballon rond mais aussi chef des émeutiers.

S’il refuse, Coraline COURÉ-COULÉ, la mère du joueur, le menace de révéler à la ville entière que Félicien n’est autre que son fils biologique.

Contraint d’accepter, le maire profite même du succès footballistique et médiatique du jeune casseur jusqu’au moment où sa belle-fille doit lui avouer qu’elle trompe son fils avec le jeune casseur.

Et le maire a d’autres problèmes entre malversation politico-financière et histoires de cœur.

Pour ne pas la laisser seule le jour de son anniversaire, Bernard invite sa maîtresse Brigitte dans sa maison de campagne.

Pour justifier cette présence que sa femme pourrait trouver bizarre, il propose en même temps à son ami Robert de venir passer le week-end, à charge pour lui de faire passer Brigitte pour sa propre maîtresse.

Ce que Bernard ignore c’est que Robert est l’amant de sa femme, et que cette dernière a engagé une aide ménagère qui se prénomme également Brigitte.

Tout va bien depuis que les parents d’Alain et Dominique ont laissé à leurs enfants l’appartement parisien qu’ils occupaient.

Tout va bien puisque Alain et Dominique s’entendent à merveille et que, pour être sûrs de vivre le plus longtemps possible côte à côte, ils font croire à leurs conquêtes respectives qu’ils sont mari et femme et dans l’impossibilité de divorcer…

Tout va moins bien depuis qu’Alain, persuadé d’avoir rencontré en Sylvie la femme de sa vie, lui a avoué la vérité !